Ma belle blonde destinée

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Ma belle blonde destinéeBonjour à tous ! Voici le récit de la plus belle expérience sexuelle que j’ai vécu. J’ai fait un assez long récit et détaillé, les scènes de sexe arrivent principalement à la fin, j’espère que ça vous plaira 🙂 La vie c’est comme un pile ou face : chaque expérience vécue n’est que le fruit d’une succession de hasards qui mis bout à bout créent notre vie. Voici le récit d’un des plus beaux cadeaux que le hasard à placé sur ma route. Je m’appelle Paul et à l’époque de cette histoire j’avais 20 ans.Jusqu’alors mes expériences sexuelles ne se résumaient qu’à la relation avec la seule petite amie que j’avais eu jusqu’à présent. Pour elle comme pour moi c’était notre première expérience, je n’avais donc que peu de connaissance dans ce domaine. notre relation avait duré un an et demi et s’était achevée trois ans auparavant. Me voilà donc à vingt ans entrant dans ce bar geek dans lequel une connaissance m’avait invité à boire un verre avec certains de ses amis. Les heures passent et je commence à songer à rentrer, la discussion du groupe ne se limitant qu’à des records ou des performances dans des jeux vidéos auxquels je n’ai que très peu joué. Je sors donc fumer une cigarette en regardant l’heure, et sur la terrasse du bar je croise un militant rencontré en manif, nous discutons quelques instants et me propose de rester quelques minutes de plus avec ses amis. J’accepte et nous fumons donc cigarette sur cigarette autour d’une bière. Au bout de quelques minutes j’aperçois mon collègue à l’intérieur du bar en discussion avec une blonde assez forte plutôt mignonne. Un petit sourire en coin naît sur mon visage ( j’ai toujours apprécié les filles assez fortes. ) de jolis yeux bleus et de longs cheveux blonds, une taille assez ronde surmontée d’une forte poitrine dans un tee-shirt trop serré d’un groupe de métal. Mon esprit s’égare quelques instants. Mettez vous à ma place ! À 20 ans après autant d’abstinence, les hormones travaillent ! Tandis que je souriait bêtement elle se tourne vers moi par hasard. Me voyant sourire, elle me sourit à son tour. Tout gêné ne sachant que faire, je détourna les yeux elle repris quant à elle sa discussion. Quelques heures plus tard l’alcool commençait à faire son effet et je songeais à rentrer me coucher. Allant fumer une dernière cigarette avec mon camarade anarchiste, la jolie blonde nous rejoint. Elle s’appelait Ombeline. Tâchant de cacher au mieux mon ébriété, je perdis la conversation quelques instants. Au moment où j’émergeais la discussion portait sur le sexe, les deux échangeaient sur les expériences les plus intéressantes vint alors mon tour et j’admis mon inexpérience dans ce domaine. Les deux ouvrirent de grands yeux surpris, et l’anarchiste me dit alors avec un sourire aux lèvres « Tu veux essayer quelque chose de nouveau ? »Surpris et sans réfléchir je répondit : « Ouais pourquoi pas »il s’approcha alors et m’embrassa langoureusementj’étais très surpris moi qui n’avait jamais embrassé de garçon mais ce n’étais pas désagréable, après quelques secondes il se retira toujours souriant – « Alors ? Qu’est ce que ça fait d’embrasser un mec ? »- « Eeeuuh ben c’est pas mal, mais je préfère quand même les femmes »« Dans ce cas c’est à mon tour ! » nous coupa Ombelineet elle s’approcha de moi et m’embrassa avec intensitéj’étais ébahi, mon cœur à éclaté dans ma poitrine, : bref j’étais content !Au bout de quelques secondes de ce magnifique échange, elle se retire toujours en souriant. Alors mon collègue la regarde en rigolant et dit « et moi alors ? »il était visiblement un peu jaloux. Elle l’embrassa a son tour plus sobrement.« Bon nous va falloir qu’on y aille » dit-il ensuite « c’est toujours bon pour que je dorme chez toi cette nuit Ombeline ? » – « Oui t’inquiètes je t’avais déjà dit oui » Zut ! C’est pas ce soir que je pourrais conclure !- Je reviens ! Je passe aux toilettes, après on décolle il pris la direction des sanitaires nous laissant seuls. – « Alors ? » me dit elle avec son joli sourire à fendre les pierres as tu apprécié que je t’embrasses ? » j’aurais voulu partir dans une immense tirade mais mon état me permis seulement de répondre, « ouais c’était génial, mais pas assez long ! »en disant ça je m’étais approché d’elle nos mains se frôlèrent, nos visages étaient tous proches, d’un œil entendu elle me dit : « et bien recommence alors » pas besoin de me le dire deux fois, je m’approcha et l’embrassa encore en me collant à elle, d’une main elle m’enlaça au niveau de la taille et posa l’autre sur ma tête en me frottant les cheveux, après quelques instants de ce divin échange elle se recula, je cru que le baiser se termina mais seule sa taille recula, sa bouche quand à elle restait collée à la mienne ce qui me faisait tout à fait plaisir, et alors d’un coup sec elle posa sa main sur mon entrejambe en érection « mmmh … dit elle en m’embrassant : j’étais sûre que je te faisait de l’effet mais pas à ce point là ! » quand à moi je resserrait mon étreinte sans oser à mon tour poser ma main sur son intimité. C’est bien évidemment à ce instant que l’autre revint des toilettes, mettant fin à notre échange. « Allez ! On va se coucher les gens ! »avec une TRÈS LÉGÈRE pointe de frustration, je suivit le groupe qui prenait le chemin du retour, après quelques pas je me plaçais à l’arrière du groupe légèrement en retrait : mon stratagème fonctionna et Ombeline ralentit d’être à mon niveau, – « Pas trop déçu, mon beau ? »- « Je mentirais si je te répondais non ! »- « Déso mon grand, mais c’est comme ça, premier arrivé, premier servit ! Mais comme t’est mignon tu va quand même prendre mon numéro et on s’appellera un de ces jours pour mettre ça »- « Super faisons-ça alors !» Après avoir échangé nos numéros je posa ma main dans le bas de son dos, elle mis la sienne dans la poche arrière de mon jean. J’entamais alors de discrètes caresses, de plus en plus bas sur ses fesses puis entre ses cuisses, tout en étant en train de marcher. Je sentais à sa respiration s’accélérer, sa main se serrer de plus en plus dans la mienne et ma main devenir humide au fur et à mesure que mes doigts frôlaient son intimité. Les soupirs qui s’échappaient de ses lèvres comme une merveilleuse symphonie n’arrangeait rien à ma situation, l’érection qui survenait semblait avoir pris le pas sur mon cerveau. J’étais comme hypnotisé par la douceur de sa peau, envoûté par la chaleur de son corps sous mes stimulations, Escort ahuri devant la chanson de ses soupirs à mes oreilles. « Arrête… Stop mon grand ! »Je retirais précipitamment du dessous de sa jupe, nous étions arrivés au tram, comme tout samedi soir celui-ci allait être bondé : impossible pour moi de continuer mes caresses dans une telle situation. Dans le tram Ombeline était collée à moi et je sentais son magnifique fessier sur mon membre, je tentais tant bien que mal de penser à autre chose, évidemment difficile dans une pareille situation. Sans prévenir sa tête se posa sur mon épaule, et ses jolis yeux bleus me fixèrent d’un air coquin. Je lui répondit d’un sourire amusé et surpris : qu’avait elle en tête ? Qu’allait t’elle bien pouvoir faire dans ce tram plein de gens ? Un léger mouvement de ses fesses contre me membre me fit frissonner, ses yeux continuèrent de me fixer avec un regard de plus en plus aguichant, nouveau mouvement de fessier, nouveau frisson qui m’arracha un soupir, elle commença alors a se mordre la lèvre inférieure sans lâcher mes yeux de son regard si intense, elle se cambra, puis encore un mouvement de fessier cette fois plus lent et plus poussé vers mon membre, qui m’arracha un soupir plus profond et me fit fermer les yeux et me fit comprendre : ma belle blonde étais en train de m’exciter en public. Comprenant son manège je la laissa faire en me collant le plus possible à elle afin de cacher mon excitation aux restes des passagers et surtout d’en profiter le plus possible. Le paroxysme vint quelques arrêts avant celui où elle devait descendre, la tête toujours allongée sur mon épaule elle commença à me mordiller le lob de l’oreille tout en continuant son déhanchement du bassin. Je me mordis la lèvre inférieure de plaisir en retenant un soupir trop fort. Mon dieu je vis un rêve !Malheureusement son arrêt vint finalement, elle se retourna et me fixa de son regard si intense « à bientôt » me dit elle à haute voix et en se penchant pour me faire la bise me souffla à l’oreille, « Tu ne sait pas à quel point j’espère ce bientôt». Elle finit sa parade en m’embrassant intensément dans le cou,je la vis partir en me souriant d’un air entendu. Ombeline, Ombeline, Ombeline… Je te désire comme un noyé devant une bulle d’air, comme un affamé devant un buffet à volonté, comme un assoiffé devant une fontaine… Comme un puceau devant son premier porno ! Je repris soudain mes esprits et remarqua que plusieurs personnes me regardaient dans le tram avec un sourire moqueur. Apparemment nous n’avions pas été aussi discrets que je l’avait imaginé. Je tentais donc tant bien que mal de rester discret jusqu’à mon arrêt. Le chemin de retour jusqu’à chez moi fut sans plus d’histoires, mis à part mon corps réchauffé par la douce chaleur de cette nuit d’été et mon esprit en ébullition après ma rencontre avec ma douce blonde. Le lendemain je me réveillais avec un léger mal de tête, je mis quelques secondes à me rappeler les événements de la veille, un sourire me vint aux lèvres en songeant à ma belle blonde, je regardais l’heure sur mon téléphone : ‘’ vous avez un nouveau message d’un numéro inconnu ‘’huit- huit – huit ‘’ vous avez un nouveau message : reçu hier à une heure trente-sept ‘’ salut mon beau, c’est Ombeline : voilà un message pour être certaine que tu auras mon numéro, et qu’on se revois pour continuer notre discussion d’hier soir. Je te trouves très mignon et j’espère que tu m’appelleras dès ton retour du Hellfest. A bientôt beau-gosse »Il semblait en effet que le destin s’amusait à me torturer, j’avais ma place réservée depuis 9 mois pour le plus grand festival d’hard-rock et de métal d’Europe… tout était prêt, on partait dans la soirée. Mais pensons à autre chose : pendant trois jours de la musique géniale et bien trop forte, des gens marrants et de la bière ! Pour ma part je n’était pas à plaindre, et dès mon retour, ma déesse recevrait une visite… Trois jours après… De retour de mon festival, la première chose faite après avoir pris une douche fut d’envoyer un message à ma belle. – « Salut ma belle, je suis rentré du festival, c’était génial, mais j’ai bien pensé à toi, quand est tu disponible pour qu’on se voit ? 😉 »- « Salut 🙂 tu te souvient quant je t’avais dit premier arrivé, premier servit ? »Houlà… j’aimes pas ce qui se passe là – « Heeeuuu… Ouais ? » Je le sens pas du tout – « Ya ce collègue au travail que j’aime bien, qui m’a invité au restaurant, puis nous avons décidé de tenter notre chance ensemble, désolée pour toi mon grand ! »’« … … … ! RAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!! Oooo Rage ! Oooh désespoir ! Ooooh putain ! Mais pourquoi moi ! Trois ans Bordel! Pourquoi destin ! Une fois l’énervement passé, je me mis à rire bêtement puis frénétiquement, devant l’absurdité et l’inutilité totale de cette colère, En gentleman que je m’efforçais d’être je lui répondit« Salut ma belle, et bien tu te doutes que je suis un peu frustré mais je dois aussi regarder les choses en face : tu as le choix entre vivre une histoire sérieuse avec quelqu’un qui te plaît ou passer une nuit avec moi ( je quittais la ville à la rentrée pour étudier dans le Sud) : cette histoire va potentiellement t’apporter bien plus que je n’aurais pu le faire. J’espère très sincèrement que tu va être heureuse ;). ‘‘Sa réponse fut des plus courtes et plus parlantes. « Mais t’est vraiment un chic type toi ! C’est dommage quand même, j’aurais adoré t’avoir en moi… »Et revoilà la gaule… Quelques mois plus tard… ‘‘ Salut les gars ! Je rentre ! ’’ je partit titubant sur le chemin du tram. Assis sur l’arrêt du tram mon esprit vagabondait, et revint inévitablement à cette soirée où j’avais rencontrée ma belle blonde. J’avais plusieurs fois espéré la recroiser dans ce tram, et peut importe ce qui adviendrait (même si j’avais quelques idées) « whaa je perd la tête ! De toute façons voilà le tram » pensais je à voix hautej’alla m’asseoir, lança ma musique dans mon casque regarda autour de moimon regard alla d’une personne à l’autre un groupe de jeunes plus éméché que moi, un vieil homme qui semblait dormir sur place, un couple de trentenaires qui s’embrassaient, un grand type qui parlait à une blonde, trois punks encore plus éméchés aux allures patibulaires, un étudiant qui… ‘‘ Attends quoi ?!? ’’Comme si mon cerveau étais surpris par l’image que mes yeux transmettaient, je revins sur le grand type et la blonde, elle étais de Escort Bayan dos mais… Ces formes, ces cheveux ondulées et cette blondeur que je n’aurais pas pu oublier même si je l’avais voulu… Non… Pas possible, ça peut pas être elle, retourne toi un seul instant que j’en sois sûr. A cet instant comme par magie la blonde fit tomber le téléphone qu’elle avait en main, elle se retourna pour le ramasser et son regard croisa le mien une première fois par hasard, puis revint dessus cette fois les yeux écarquillés. Putain de bordel de merde… Ombeline ! c’est elle, dans ce tram à la même heure que l’autre fois et on se revoit par hasard plusieurs mois après notre dernier message. C’est alors que son regard m’acheva : ses yeux d’abord écarquillés se plissèrent sous ce même sourire qu’elle m’avait lancé plusieurs mois auparavant. Un puissant frisson me parcouru de la tête aux pieds. C’était bien elle, toujours aussi belle, ses courbes inchangées et sa forte poitrine serrée dans un tee-shirt pourtant ample selon ses courbes. (Inutile de préciser que mes talents en termes de séduction n’avaient miraculeusement évolués depuis que je l’avais revue)Une légère impulsion m’envoya un début d’érection, « polo on se calme ! » Me dit alors la petite voix dans ma tête « Elle est pas toute seule et le type est très certainement son gars » A cet instant encore par hasard le grand type avec qui elle étais lui fit la bise et sortit du tram.Ombeline quant à elle, à peine l’homme sortit se retourna m’envoya son sourire à fendre la roche et m’invita à la rejoindre d’un signe de l’index. Je ris intérieurement en me levant de mon siège pour la rejoindre. « bordel destin t’est vraiment un putain de farceur ! » « bonsoir très chère, comment va tu ? Dis je en lui faisant la bise. »« et bien super, et toi comment vas tu ? »Elle était encore plus belle que la dernière fois, légèrement maquillée, le visage rougit par l’alcool, une chemise à carreaux par dessus son tee-shirt moulant… mon dieu quelle déesseElle me parla de son collègue qui n’en était plus un, ayant changé de boîte dernièrement, elle songeait d’ailleurs à rompre, m’avoua t’elleMmmh… « silence ! coucouche panier ! » m’ordonna ma petite voix Tout en discutant je suivais le compte des arrêts qui défilaient inlassablement encore quelques-uns et je devrais lui dire au revoir… mes pensées s’interrompirent par la voix provenant du haut-parleur, au plafond :« Mesdames et Messieurs en raison de travaux sur la ligne ; la ligne 1 direction François Mitterand aura pour terminus l’arrêt Souillarderie » On s’arrête avant notre arrêt, ce qui signifie un bout de chemin à faire ensemble, «Merci, destin » pensais-je en riant intérieurement Nous marchâmes dans le froid de la nuit, frisquet en ce moi de février, je gromelait en pensant à la demi-heure de plus que j’allais devoir me taper pour rentrer. C’est au moment où nous devions nous quitter que le destin me sourit enfin J’avais pour ma part abandonné toute tentative à son égard, après tout elle ne m’avais vut qu’une seule fois il y à plusieurs mois déjà. – « Tu pars vers où toi ? » – « Saint-Herblain, là j’en ai encore pour une bonne demi-heure »- « Bah tu veux dormir chez moi ? » Je me retint d’écarquiller les yeux devant une telle proposition, son copain n’était pas là pour la semaine- « Ha ba ouais, carrément si ça t’ennuies pas »- « Non non t’inquiètes, j’ai un bon canapé. » Nous partîmes alors vers son appartement. Tout en poursuivant notre discussion je remarquais qu’elle souriait un peu trop à chacune de mes blagues. Je ne savais quoi penser . J’étais tiraillé entre ma terrible envie de passer ma nuit avec elle et le fait d’être le gentleman que je tenais absolument à être.Arrivés à son appartement, nous allâmes fumer une dernière cigarette sur son balcon Mon dialogue intérieur ayant enfin aboutit à quelque chose, je lui fis ma demande- « Dit donc, j’ai bien compris que notre nuit potentielle, à été arrêté la dernière fois. C’est pas une tentative pour te faire changer d’avis, mais j’avoue que j’aimerais beaucoup te faire un massage. »Je pense messieurs que beaucoup d’entre vous seront de mon avis : faire physiquement plaisir à une femme est toujours émoustillant, quand bien même on ne parle pas de sexed’autant plus que j’adore en faire et que je me débrouilles relativement bien dans ce domaine Cette proposition la fit sourire, mais elle répondit.« Pas sûr que ça soit une bonne idée. Si tu me masses je pourrais pas m’empêcher de te sauter dessus »Hohoho ! Était- t’elle sérieuse ? Mais alors pourquoi ressentais-je toujours ce sentiment répulsif, comme si elle se moquait de moi- « t’inquiètes c’est juste un massage que je te proposes, en tout bien tout honneur qui n’iras pas plus loin. Ca me ferais très plaisir »- « Mhmm… Bon, Ok… bouges pas j’arrive. »Elle partit dans sa chambre et ferma la porte. Que faisait t’elle ? Pourquoi passer dans sa chambre ? J’avais juste à m’asseoir derrière elle, assise pour lui masser un peu le dos et les épaules. Je me posait la question quand sa voix traversa la porte « c’est bon tu peux venir ! » De plus en plus surpris je poussa la porte. Et là mon cerveau s’arrêtaMa belle blonde étais couchée sur le ventre, allongée sur son litPresque entièrement nue, vêtue d’un simple string de fine dentelle séparant ses fesses Je pouvais voir la courbe de son opulente poitrine dont j’avais si souvent rêvée. Elle étais là couchée à attendre que je viennes lui masser le dos- « Tiens l’huile est là si tu t’en sert, j’aime bien avec de l’huile »me dit elle avec un sourire aguicheur. Me sortant de mes pensées j’avançais vers elle. Encore aujourd’hui je ne me rappelles pas de vision aussi intense, mon cœur donnait l’impression d’éclater sous les coups qu’il martelait dans ma cage thoracique. C’était comme si mes yeux avaient pris de la drogue.Mes jambes se déplacèrent d’elles-mêmes, jusqu’à sa table de nuit, s’enduirent de l’huile de massage qui y était déposée. Puis après un bref regard vers sa poitrine, j’allai m’installer à califourchon sur ses jambes Malgré l’huile visqueuse je sentait la douceur et la chaleur de sa peau sous mes doigts. C’était si doux… J’avais oublié qu’il existait de pareilles sensations. Afin de la détendre au maximum j’appliquais une certaine pression en la massant, Les petits soupirs qu’elle émettait semblaient confirmer que cela lui plaisait. Je la massais de bas en haut en redescendant sur Bayan Escort ses courbes, effleurant légèrement la naissance de sa poitrine.La petite voix dans ma tête semblait s’être tue, comme si elle s’était évanouie sous cette vue merveilleuseTout en la massant intensément, ses soupirs semblaient de plus en intensesElle me dit alors… « Descend plus bas si tu veux… » Toujours fasciné, j’appliquai ses directives. Je lui massais alors intensément ses jolies cuisses, toujours de bas en haut, en me rapprochant toujours un peu plus, de la dentelle. Ses soupirs de plus en plus réguliers, confirmaient que cela lui plaisait. N’y tenant plus, mon index se posa délicatement sur son vagin, tout en le stimulant tendrement. – « Hooooo … » gémis-t’elle le visage à présent pivoine « C’est pas bien de faire ça… Mais n’arrête pas c’est trop bon… » J’étais de plus en plus serré dans mon pantalon, désireux de passer au niveau supérieur, j’eus une idée. Reculant légèrement derrière ses jambes je déposa un baiser juste au dessus de ses fesses, puis remonta doucement sur la cambrure de son dos, atteignant sa nuque je pivota légèrement pour l’embrasser dans le cou. Rouge de plaisir, elle tourna sa tête vers moi et m’embrassa passionnément. Descendant de son dos pour me mettre sur le côté, je l’attira sur moi. En passant sa poitrine fit remonter mon tee-shirt et s’appuya contre mon torse. Dieu que c’était agréable. Je la repositionna sur le dos contemplant enfin sa poitrine rêvée et la pris en bouche au niveau des tétons. « Mmmmhhhhh ! … n’arrêtes pas, j’adore ce que tu me fais… »En disant cela elle pris ma main qu’elle porta à sa bouche, me suça goulument les doigts puis pose mon pouce et mon index en pressant entre ses tétons… Pendant de longues minutes, nous restâmes ainsi que c’était agréable… Enfin je me recula légèrement lui embrassa le sein, puis descendit en me repositionnant sur le centre de son ventre en descendant… Elle leva légèrement ses yeux embués d’émotion, et chuchota « Oooh oui… » en voyant vers où ma bouche allait s’affairer.Arrivé à son entrejambe, je pris son string entre mes lèvres et le retira délicatementune fois le pied passé, je remontais vers son intimité en lui embrassant la jambe, cuisse et enfin vagin. Légèrement poilu, il était déjà bien humide. J’y posa ma bouche dessus et la pénétra directement avec ma langue«OOOOH ! Oui vas y, vas y fourre moi avec ta langue ! c’est beaucoup trop bon vas-y ! Elle semblait à présent se lâcher complètement, elle posa ses mains sur ma tête me maintenant le crâne contre elle. Je lui lécher la paroi vaginale depuis un bon moment, ma main droite lui stimulant le clitoris et l’autre lui agrippant un sein. « Oui vas y, c’est trop bon, OOOh j’adore ce que tu fais… Je mouilles tellement… »enfin elle me repoussa doucement pour reprendre son soufflePuis elle me pris par la main, me fit asseoir et m’allonger à sa place. « Maintenant c’est à moi de te satisfaire mon beau… Et bien tu sembles bien serré là dedans ! »c’était le cas de le dire, je bandais tellement que j’en avait mal ! Elle me déboutonna, baissa mon boxer, mon pénis en érection lui sauta à la figure, déjà tout humide de liquide préséminal.Elle le pris au niveau de la garde et sans plus de cérémonie l’engouffra sa bouche dessus… OOOOOOH ! j’avais le cerveau qui venait de jouir…. Elle me pompa goulûment de ses mains expertes pendant plusieurs minutes en me fixant de son intense regard. Cette image accompagne parfois mes séances de masturbation encore aujourd’hui.Enfin elle se retira. Et me dit d’un air de défi. «Maintenant tu va me prendre ! » elle farfouilla sa table de nuit avec son bras, et en tatônant en sortit une capote qu’elle ouvrit et me tendit. Oouu la coquine… Elle avait tout à portée de main ! La capote en place je me mis en position sur elle, et m’introduisit aisément en elle, nos préliminaires nous ayant tout les deux bien dilaté. J’entrepris alors de lents et profond va et viens, dévorant des yeux son imposante poitrine dansante sous mes coups et son visage cisaillé de plaisir, les yeux fermés et la bouche entrouverte dont s’échappaient ses excitants soupirs… « Han, han, han, han… retoune moi maintenant… Obéissant je me retiras, elle se mis à quatre pattes, dos à moi, puis je la pénétra, en malaxant ses belles fesses,puis tout en m’affairant, je m’inclinas en avant, lui saisit les seins puis, la remontant contre moi. Me sentant bientôt arrivé à termes, je désirait la faire venir avec moi, que nous finissions ensembles, c’est ainsi que je l’acheva, redressé sur mes molets, la pénétrant avec force, mes mains malaxant puissamment sa poitrine, et moi lui mordillant l’oreille en lui chuchotant des insanités. « tu la sens ma bite ? t’aimes ça que je te prennes dans cette position ? Hein ? Répond, dit- moi ce que tu est ! »- «  Ooh Oui ! Je suis à toi, prends moi quand tu veux, où tu veux, je suis à ta disposition, ton vide couilles, ta chose… Tout ce que tu veux mais baises moi encore Ooooh oui je viens oooooooooo putain aaaaaaaaaaaaaaaaah…. »je sentis un liquide chaud, m’inonder le pénis sur la capote. Elle était venue, intensément. « Oh c’était divin ! Maintenant à moi de te finir. » Elle bondit à terre se mit à genoux et m’engloutit l’engin me fixant de ses yeux d’amante satisfaite. Je me sentais venir. Le sentant elle retira sa bouche et entrepris de me branler intensément, devant sa bouche grande ouverte… HOOOOOO ! Mon éjaculation fut aussi puissante qu’un lancer de fusée ! Jamais je n’avais jouis comme ça. Comme vidé de toute force intérieure je reprenais mon souffle en regardant ma belle toujours à genoux, mon sperme étalé sur son visage, elle achever de me nettoyer en me suçant encore légèrement. « Mon chéri c’était magnifique » me dit elle des étoiles plein les yeux. Elle se releva et m’entraina à la salle de bain pour nous laver. Nous rîames en sortant de la chambre, j’avais éjaculé jusqu’à sur la porte 4 mètres plus loin ! Nous nous lavâmes l’un l’autre avec embrassades et tendresses, puis allâmes nous coucher épuisés mais heureux. Je dormis d’un sommeil profond la serrant contre moi. J’étais au paradis. Le lendemain elle m’accompagna à la sortie et parti au travail. Pour ma part je rentra tout émoustillé des images plein la tête. Je ne la revis plus par la suite. Peut-être que sa relation avec son copain s’était amélioré. Je ne sais pas, et je m’en moquais un peu, j’avais passé la meilleure nuit de ma vie, eu accès à des douceurs, des sentiments que je ne savais même pas exister. J’étais assez content d’avoir agis en gentleman à notre premier rendez-vous impossible. Je repense parfois à elle, et cette histoire me fait toujours sourire d’émotion.

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