Dans les bois.

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Dans les bois.Hier soir, Philippe m’a téléphoné pour parler de tout et de rien. Plus la conversation avançait, plus je ressentais chez lui une tension extrême. Plus je lui posais de questions, plus il se montrait évasif. Je ne comprenais pas son attitude. Alors que je m’apprêtais à raccrocher, il finit par me dire : « demain en fin de matinée, je passe te chercher ». Voulant en savoir plus, je repris mon petit jeu de questions/réponses, mais il resta discret, ne voulant rien me révéler. La seule chose qu’il me dit avant que de couper c’est : « je choisirais ta tenue ». Autant vous dire que ma nuit fut quelque peu agitée car je me posais pleins de questions, auxquelles je ne pouvais associer de réponses. Lorsque le réveil sonna le lendemain, j’avais l’impression de ne pas avoir dormi. Pour me mettre en forme, je filai sous la douche. Comme il me l’avait demandé, je restais donc nue, dans l’attente anxieuse de son arrivée. Je reçus un texto me disant : « je pars de chez moi, j’arrive dans une vingtaine de minutes ». Ponctuel, comme à son habitude, il arriva pile à l’heure. Après m’avoir embrassé goulûment, il m’entraîna vers mon dressing. Il farfouilla quelques minutes et en ressortit un mini short en cuir et un mini blouson qui n’allait cacher que ma poitrine. « Enfiles ça, ma salope, cela suffira amplement ». Il fouilla ensuite dans mes chaussures et me tendit une paire de bottines à hauts talons. « Pour ton maquillage, je veux quelque chose de voyant, et pour ta coiffure, ta perruque courte brune fera l’affaire » ajouta-t-il en se dirigeant vers la cuisine pour se préparer un café. Quelques minutes plus tard, je le rejoignis. Il me palpa, me tritura, tout en accompagnant ses gestes de commentaires flatteurs à mon égard du style : « c’est bien ma pute, tu es une bonne fille obéissante » et j’en passe …Depuis le temps que nous nous fréquentions, j’avais vaincu ma peur de sortir dans des tenues aussi excentriques et de croiser des voisins. Nous prîmes l’escalier pour descendre. Mes talons me semblaient faire un raffut de tous les diables mais je m’en fichais, j’étais à son bras. Arrivés dans la rue, pour corser l’affaire, il s’était garé assez loin. Je marchais fièrement la tête droite mais les yeux baissés. Nous arrivâmes enfin à sa voiture, dont il ouvrit la portière. Je dus alors illegal bahis m’installer tel qu’il me l’avait appris. Je commençais par poser mes fesses sur le siège et avant que de rentrer mes jambes dans l’habitacle, je dus écarter les jambes, offrant aux passants une vue sur mon entrejambes. Une fois assise, je remarquais des menottes posées au plancher. Il referma un premier jeu sur mes chevilles. Il se redressa et ouvrit mon blouson, laissant ma poitrine sans la moindre protection, à la vue de tous. Cela fait, il passa à l’arrière, m’intima l’ordre de mettre mes bras dans mon dos, ce que je fis sans discuter. Il y passa une seconde paire de menottes. Je me retrouvais ainsi immobilisée, les seins à l’air. Cette situation, nouvelle, ne tarda pas à faire son effet. Une bosse apparut, déformant le short. Me voir ainsi exhibée, en pleine rue, en pleine ville devait l’exciter lui aussi car il sortit de sa poche un petit appareil photos avec lequel il me mitrailla. Satisfait, il s’installa au volant et démarra. Je pensai que nous allions rapidement sortir de la ville mais il n’en fit rien. Au contraire, il prenait tout son temps. Roulant tranquillement et s’arrêtant à tous les feux. Bien évidemment, les yeux des conducteurs voisins se tournaient vers moi. Je n’osai imaginer leurs pensées. Nous quittâmes enfin la ville et il prit la direction de la campagne avoisinante. Nous roulâmes de longues minutes durant lesquelles il n’hésitait pas à poser sa main sur mes cuisses et à remonter vers mon clitoris, ce qui me menait à un point de paroxysme, que je vous laisse imaginer. Il finit par s’engager dans un petit chemin qui menait vers une forêt. Il se gara de façon à ce que la voiture soit visible de la route. Puis il descendit et vint me libérer, façon de parler car s’il libéra mes bras, ce ne fut que le temps de me retirer mon blouson, après quo, il remit les menottes en place. A un moment, il trouva une branche un peu épaisse qu’il ramassa. Il passa derrière moi, ouvrit les menottes, passa la branche dans mon dos, et me menotta à nouveau, mais les mains devant moi. L’arc, que formaient mes coudes, bloquait la branche dans mon dos, me forçant à me redresser. Nous continuâmes à marcher. Un peu plus loin, il prit une petite branche qu’il transforma en badine. Chemin faisant, il en illegal bahis siteleri profitait pour me fouetter. De façon très irrégulière et toujours au moment où je m’y attendais le moins. Chaque coup imprimait sa marque sur ma peau. Des larmes de douleur perlèrent aux coins de mes yeux. Il s’en rendit compte et me dit d’un ton qui ne supportait pas la moindre réplique : « sois forte et tais toi, je ne veux pas t’entendre ».Arrivés à l’entrée d’une clairière, il me débarrassa de la branche et m’attacha à un arbre, face à lui, les chaînes des menottes passant derrière le tronc, me rendant à sa merci. La badine reprit son œuvre, me zébrant maintenant tout le devant du corps. Comme une damnée, je me débattais dans mes liens mais rien n’y faisait. Estimant que la punition avait suffisamment duré, il jeta la badine, dégrafa mon short qu’il fit descendre jusqu’à mes genoux, et prenant mon clitoris entre ses doigts, il me branla me conduisant très vite à la jouissance. Mon jus se répandit dans sa main qu’il porta à ma bouche. Je compris ce que j’avais à faire. Je léchais consciencieusement ses doigts pour en récupérer mon sperme. Il récupéra les dernières gouttes au bout de mon clitoris et l’étala autour de ma bouche et sur mes seins. Satisfait, il s’éloigna, me laissant seule, attachée à mon arbre. Son absence dura un certain temps. Quand il revint, enfin, il tenait à la main un sac de sport qu’il était allé chercher dans le coffre de la voiture. Avant que de me libérer de mon arbre il passa à mon cou, un collier auquel il fixa une laisse. Il retira mon short. Je me retrouvai intégralement nue. Il m’ordonna de me mettre à quatre pattes et de le suivre en remuant mon cul. Je ne me fis pas prier. Nous continuâmes notre promenade, jusqu’à ce que nous arrivions dans une vaste clairière. La première chose que je vis était un genre de barrière, faite de deux piquets et de deux barres horizontales. Il s’arrêta à sa hauteur et m’intima de me positionner de la façon qu’il m’indiquait. Je m’assis sur la barre basse. Mon torse vint prendre appui sur la seconde, mais celle-ci était dans mon cou. Il sortit de son sac, tout un jeu de cordes. Il commença par immobiliser mes bras le long de cette barre. Ceci fait, il prit ma cheville droite et la relia au piquet. Il fit de même avec mon canlı bahis siteleri autre cheville. Je me retrouvai crucifiée, écartelée à cet instrument de torture improvisé. Mes fesses se retrouvant juste à la bonne hauteur, il passa derrière moi, écarta mes globes fessiers, et y planta un gode d’une telle longueur qu’une belle partie vient se figer entre mes reins alors que sa base était posée à même le sol. La position inconfortable dans laquelle je me trouvais, faisait que je m’auto-sodomisais à chacun de mes mouvements. Je commençais à prendre du plaisir à être ainsi clouée à ce pilori improvisé. Bien vite, j’entendis des bruits de pas venant de toutes parts. Des hommes sortirent des bosquets avoisinants et se présentèrent devant moi. Philippe exigea de moi que je les soulage tous Ma bouche fut forcée de nombreuses fois par des sexes de toutes tailles, et toutes finirent par me souiller soit en se répandant au fond de ma gorge, soit en se déversant sur ma poitrine. Tout ce sperme coulant lentement sur moi me rendit folle. Telle une affamée, j’en réclamai toujours plus. Cela dura longtemps avant qu’il ne me détache. La nuit commençait à tomber quand il me reconduisit à la voiture.Je m’apprêtais à ouvrir la portière quand il me lança : « sale comme tu l’ais de toutes ses souillures, tu ne comptes pas prendre place à mes côtés, ta place est dans le coffre, en bonne chienne ». J’eus beau supplier, rien n’y fit, il resta intraitable. Vaincue, je rentrai dans le coffre, m’y repliant sur moi-même pour me faire une place et c’est ainsi que nous sommes rentrés. A l’arrivée, il m’autorisa à m’envelopper dans la couverture pour rentrer chez moi. Autant j’étais fière d’être à son bras quelques heures plus tôt, autant je me précipitais dans mon immeuble en espérant ne croiser personne.Quelques minutes plus tard, nous nous retrouvâmes dans mon appartement. Je filai sous la douche. Quand j’en ressortis, il m’attendait dans mon salon. En me voyant apparaître, il me dit : « tu t’es bien comportée, ma chérie, cela mérite une récompense. Vas t’habiller, je t’emmène au restaurant ». La soirée qui s’en suivit, il se montra prévenant et délicat. Il me laissa carte blanche quant au menu. Durant le repas, il prit ma main à de nombreuses reprises pour l’effleurer de baisers. Je ne comprenais pas un tel revirement de comportement de sa part. Après m’avoir « salie », il était aux petits soins. C’est en sortant du restaurant que je compris, quand il me souhaita une bonne fête.Nous étions le 14 février.Une Saint-Valentin inoubliable. Merci Philou..

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